Ătapespour installer Android 10 sur Galaxy S8/S8+ et Note 8. TĂ©lĂ©chargez le package zip Lineage OS 17 appropriĂ© en fonction de votre appareil Ă partir des liens ci-dessus. DĂ©placez le package zip dans la mĂ©moire interne de votre smartphone. RedĂ©marrez votre tĂ©lĂ©phone en mode de rĂ©cupĂ©ration.
Samsung a dĂ©voilĂ© la semaine derniĂšre son smartphone le plus abouti jusquâalors le Galaxy S8. Celui-ci frappe particuliĂšrement par la taille de son Ă©cran et la surface quâil occupe en face avant, on lâa Ă©voquĂ© dans cet article. Mais le constructeur sud-corĂ©en, sâil mĂšne la danse pour les Ă©crans, ne rechigne en gĂ©nĂ©ral pas Ă emprunter les nouveautĂ©s rĂ©centes dâApple. On a pu ainsi ĂȘtre surpris de ne pas voir arriver de double capteur photo sur son dernier nĂ©, Ă lâinstar de lâiPhone 7 Plus. Mais en fait, Samsung a bien testĂ© ce type de systĂšme. Câest la photo dâun prototype de Galaxy S8, dĂ©voilĂ©e rĂ©cemment, qui le confirme. Samsung a Ă©valuĂ© la possibilitĂ© dâoffrir un capteur photo double optique au Galaxy. Ici il Ă©tait disposĂ© verticalement. Ce dispositif nâa finalement pas Ă©tĂ© retenu. Lâhistoire ne dit pas si câest pour des raisons techniques un rĂ©sultat pas au niveau des attentes ?, de fournisseur ou encore Ă©conomique. Mais ce nâest peut-ĂȘtre que partie remise et on pourrait bien le voir arriver sur un prochain Galaxy Note, ou sur le S9 lâan prochain. Source - App officielle Par Keleops AG fondateur du site. IngĂ©nieur en Informatique et spĂ©cialiste d'Internet ou il a occupĂ© divers postes Ă responsabilitĂ©, Laurent est passionnĂ© de mobilitĂ© depuis l'arrivĂ©e des "PDA" dans les annĂ©es 90. Journaliste pendant 4 ans pour le magazine Team Palmtops Posse Presse et auteur de plusieurs ouvrages sur l'iPad aux Ă©ditions Pearson.Unetelle fonctionnalitĂ© sâavĂšre pratique pour ceux qui Ă©garent souvent leur tĂ©lĂ©phone, car ils peuvent facilement ĂȘtre atteints par un individu honnĂȘte qui le trouve sur la
22 Le voilĂ enfin, le Graal tant attendu par une communautĂ© Android dont une partie reste orpheline du Galaxy Note 7. Celui qui est censĂ© donner le "la" de l'annĂ©e 2017 sur le haut de gamme, celui qui doit remettre les pendules Ă l'heure, celui qui a tout changĂ© pour tuer la concurrence... PrĂ©sentation AprĂšs de trĂšs bons Galaxy A5 et A3 2017 lancĂ©s en dĂ©but d'annĂ©e, Samsung rafraĂźchit son haut de gamme qui ne comporte plus que les GS7 et GS7 edge dans ses rangs depuis la dĂ©fection du Note 7 l'hiver dernier. La marque l'explique d'ailleurs le GS8 et son grand frĂšre le GS8+ ne sont pas Ă proprement parler des remplaçants stricto sensu des GS7 et GS7 edge, dans la mesure oĂč les Ă©crans des deux premiers sont bien plus grands que ceux des deux derniers. La marque va donc aligner les 4 terminaux dans son catalogue pour gĂ©nĂ©rer une nouvelle montĂ©e en gamme et en gabarit d'Ă©cran. Et tant pis pour la confusion que cela va forcĂ©ment induire. Mais revenons Ă notre Galaxy S8 du jour. Vous avez sans doute dĂ©jĂ admirĂ© son faciĂšs ici ou lĂ , c'est un peu sa marque de fabrique. Ă savoir un Ă©cran Super Amoled quasi pleine surface Ă l'avant, d'une taille de 5,8 pouces, dans une trĂšs haute dĂ©finition de 2960 x 1440 px pour coller Ă son ratio inĂ©dit de 18,59 contre du 169 traditionnellement. Un format plus long, donc, qui colle presque Ă celui du concurrent du moment tout dĂ©signĂ© du Galaxy S8 le LG G6 et son Ă©cran LCD de 5,7 pouces en 2560 x 1440 px lui aussi tentant le presque bord Ă bord. Sous la dalle du GS8, se trouvent une puce mobile octocĆur Samsung Exynos 8895 gravĂ©e en 10 nm et cadencĂ©e Ă 2,3 GHz 4 cĆurs Exynos M2 maison + 4 cĆurs ARM Cortex-A53, une mĂ©moire vive de 4 Go et un stockage interne de 64 Go extensible via l'ajout d'une carte microSD. L'appareil photo reste quasi inchangĂ© par rapport Ă 2016, avec un module Ă stabilisation optique, un capteur Sony de 12 Mpx, un autofocus Laser, la technologie Dual Pixel AF pour la construction du capteur et un flash au xĂ©non. Ă l'avant, se logent un capteur de 8 Mpx et un scanner d'iris. Pour la connectivitĂ©, la partie filaire est assurĂ©e par un port USB-C et une sortie casque mini-Jack, tandis que le sans-fil compile Wi-Fi a/b/g/n/ac, Bluetooth â le premier dans le domaine â, GPS + GLONASS, NFC et toutes les bandes 4G LTE nĂ©cessaires, notamment celle des 700 MHz B28. Enfin, son modem est compatible avec le rĂ©seau 4G Gigabit, mais le dĂ©ploiement rĂ©seau en France ne vous y emmĂšnera pas encore. Le tout est engoncĂ© dans une coque de verre et mĂ©tal Ă©tanche IP68 et alimentĂ© par une batterie de 3 000 mAh et la recharge sans fil est disponible chargeur idoine en option.Le GS8 intĂšgre Android Nougat, recouvert de l'interface maison nommĂ©e dorĂ©navant Experience UI â adieu TouchWiz. ParticularitĂ© de l'OS et des nouvelles fournĂ©es de Galaxy S, il est possible de les faire muer en ersatz de PC de bureau grĂące au dock DeX, que l'on connecte Ă un moniteur. Souris et clavier peuvent ĂȘtre ajoutĂ©s pour obtenir un Android plein grand Ă©cran et multitĂąche. Nous aborderons ici briĂšvement cette option, mais reviendrons plus en dĂ©tail sur l'apport rĂ©el de ce mode dans un prochain Samsung Galaxy S8 est commercialisĂ© au tarif indicatif de 809 âŹ, soit une addition tout de mĂȘme augmentĂ©e de 110 ⏠comparĂ©e Ă celle demandĂ©e pour le Galaxy S7 en son temps. Par rapport au GS7 edge, plus proche en gabarit finalement, la rallonge n'est alors que de 10 âŹ. Notez que le GS8, comme le GS8+ 909 ⏠pour sa part ne sont pas livrĂ©s avec le support DeX, qui demande un ajout de 149 ⏠pour en profiter. Ergonomie et design Une piĂšce d'orfĂšvrerie. Rien que ça. Le Galaxy Note 7 â paix Ă son Ăąme â avait dĂ©jĂ prĂ©figurĂ© l'avancĂ©e de Samsung dans la construction haut de gamme. Et si la batterie et une pincĂ©e de prĂ©cipitation n'avaient pas gĂąchĂ© la rĂ©alisation, on pourrait sans doute confirmer que le Galaxy S8 en est le digne hĂ©ritier. Les images promotionnelles du S8 exposaient un fort beau mobile. Une fois en main, en vrai de vrai, on passe instantanĂ©ment un large cran. Entre l'Ă©cran quasi total Ă l'avant, l'assemblage sans faille du verre en protection Corning Gorilla Glass 5 des deux cĂŽtĂ©s et du pourtour mĂ©tallisĂ©, les 8 mm d'Ă©paisseur, le poids identique Ă celui d'un GS7 edge qui a plus d'embonpoint de visu, difficile de retirer au constructeur sud-corĂ©en une certaine maestria dans la conception et les finitions du centre, le Galaxy S8, entourĂ© des Galaxy S7 edge, iPhone 7 Plus, P10 Plus et la coque, le choix du verre implique des traces de doigts sur les coloris les plus sombres, mais aussi une glisse du mobile dans la main quand cette derniĂšre est un peu trop sĂšche. Ă voir quand les tempĂ©ratures rebaisseront et que les gants seront de sortie... Samsung aurait pu apposer un traitement pour freiner un peu l'effet, mais au moins on n'assiste pas Ă des glisses fantĂŽmes sur des surfaces planes une table de nuit, au hasard, comme on a dĂ©jĂ pu le constater sur un Xiaomi Mi 5 ou un OnePlus X. Reste Ă apprĂ©cier la durabilitĂ© de la structure dans le temps, car cela reste, aprĂšs tout, du verre dans l'absolu, mĂȘme si nos diffĂ©rents GS6 et GS7 Ă la rĂ©daction ont Ă©tĂ© malmenĂ©s de nombreux mois sans vraiment rĂ©colter d'Ă©gratignures et que le GS8 lui aussi, malgrĂ© ses matĂ©riaux, respire paradoxalement un sentiment de plus de 83 % d'occupation de la surface sur la face avant et malgrĂ© un format 18,59 qui allonge l'appareil, on se retrouve avec une bonne prĂ©hension Ă une main et une utilisation trĂšs agrĂ©able, et de fait, surprenante par rapport aux interrogations soulevĂ©es par ledit format original. Oui, le bouton principal historique a disparu au profit d'une interaction cachĂ©e sous l'Ă©cran et rĂ©pondant Ă la pression â le doigt s'enfonce par sensation du retour haptique, comme sur un iPhone 7 â et cet usage rentre trĂšs vite dans les automatismes. Il faut faire confiance au produit, mĂȘme quand le bouton n'apparaĂźt pas dans l'interface, il est bien prĂȘt Ă l'action. Mais, que de fleurs jetons-nous lĂ au GS8, n'est-ce pas ? Alors passons au sandwich de menus dĂ©fauts, car, oui, il y en a. Le petit carrĂ© gris, lĂ , sur la droite, est bien un bouton virtuel Ă retour en premier lieu sur l'intĂ©gration de la grille du haut-parleur, du port USB-C et du mini-Jack tout ceci manque un peu d'alignement. Le GS8 rĂ©cupĂšre le scanner d'iris du Note 7 et ajoute Ă©galement la reconnaissance faciale, via le capteur photo frontal. Des systĂšmes de sĂ©curitĂ© que l'on compte au nombre de 3, en ajoutant le lecteur d'empreintes digitales sur lequel nous reviendrons. Pour le premier, le fonctionnement reste erratique. L'enregistrement s'effectue rapidement et si vous portez des lunettes, il vous sera demandĂ© de les retirer pour sa bonne marche. Samsung conseille d'ailleurs, si possible, de les enlever pour la lecture en dĂ©verrouillage. Tout ceci est bien peu pratique... NĂ©anmoins, la lecture fonctionne avec des lunettes, mais de trop violents contrastes lumineux, avec les ombres que cela gĂ©nĂšre, peuvent mettre Ă mal l'opĂ©ration et le systĂšme n'aura alors de cesse de vous harceler pour bien caler vos yeux. On repassera pour l'instantanĂ©itĂ©... Pour la reconnaissance faciale, le dĂ©verrouillage s'effectue comme un boulet de canon et malgrĂ© tous nos efforts pour coincer la machine avec des photos d'utilisateurs enregistrĂ©s, nous n'avons pas trouvĂ© la faille. MĂȘme pour l'enregistrement de l'empreinte dans le systĂšme, il faut veiller Ă bien alors le cas du lecteur d'empreintes. CalĂ© juste Ă cĂŽtĂ© du module photo, au dos, une "innovation" cette annĂ©e chez le Sud-corĂ©en, il offre un dĂ©verrouillage ultra-vĂ©loce, mĂȘme lorsque l'appareil est en veille et permet aussi quelques mouvements de navigation. Tout cela est bien beau... mais encore faut-il tomber sur le fameux lecteur. Entre sa position ubuesque en matiĂšre d'ergonomie â gaucher comme droitier â et un cerclage de la mĂȘme Ă©paisseur que son voisin de capteur photo, vous l'aurez devinĂ©, on finit bien plus souvent le doigt sur l'APN que sur le lecteur. Pourtant, ce geste, cette fonction, se doit d'ĂȘtre intuitif. Ici, c'est clairement loupĂ©. Ă noter que l'on peut coupler l'empreinte avec la reconnaissance faciale ou d'iris, mais en aucun cas ces deux derniĂšres ensemble. Et pour ne pas parfaire le tableau, on trouve 3 boutons physiques sur les tranches latĂ©rales. Ă droite, le Marche/ArrĂȘt, Ă gauche, le volume et le bouton dĂ©diĂ© Ă l'IA Bixby. Des placements qui impliquent souvent de mauvaises manipulations. CĂŽtĂ© chauffe, si la structure en verre peut faire penser Ă un risque de coup chaud de l'appareil quand on le stimule un tantinet, il n'en est dans les faits, rien du tout, ou presque. Le Galaxy S8 est tout bonnement l'un des smartphones haut de gamme les moins soumis Ă la chauffe, puisqu'il monte au maximum Ă 31°C. La sensation de chaleur, non gĂȘnante, se diffuse sur la quasi-totalitĂ© de la tests de montĂ©e en tempĂ©rature sont pour l'instant soumis Ă une utilisation classique d'un smartphone. Nous reviendrons trĂšs vite dans nos pages sur la montĂ©e supĂ©rieure lorsque le GS8 un peu plus de 36°C sans trop forcer sur l'appareil est utilisĂ© sur le dock DeX pour le mode PC de bureau, gourmand en ressources. Ăcran Trouverez-vous Ă©tonnant que l'Ă©cran du GS8 s'impose comme l'un des meilleurs afficheurs que l'on ait vus Ă ce jour ? Pas vraiment si vous suivez un peu l'actualitĂ© des afficheurs du milieu et du haut de gamme en Super Amoled de la firme sud-corĂ©enne depuis au moins 3 ans. C'est bien simple, la longue dalle du S8 se classe directement dans le top 10 des Ă©crans de smartphones, Ă la 6e place. Un Top 10 dont les 9 premiĂšres places sont occupĂ©es... par Samsung. Nous jouons Ă la dĂ©cimale prĂšs sur la plupart des composantes de l'affichage tant tout ce beau monde GS7, GS7 edge, Galaxy A5 2016, GS6 edge+... se vaut. Vous pourrez consulter plus en dĂ©tail notre test de l'Ă©cran dans le lien "Labo" Ă la fin de cette section, mais abordons ensemble les points cruciaux. Contraste LuminositĂ© RĂ©flectance Avec une dalle Super Amoled, le GS8 peut se targuer de possĂ©der un contraste infini, accompagnĂ© qui plus est par une belle luminositĂ© maximale de 595 cd/mÂČ. Et comme sa dalle gĂšre assez bien les reflets taux de rĂ©flexion lumineuse de 10 %, l'utilisation en extĂ©rieur ne sera jamais un problĂšme. Pour le confort de lecture, sachez que Samsung intĂšgre 3 dĂ©finitions diffĂ©rentes HD+ 1480 x 720 px, FHD+ 2220 x 1080 px, proposĂ©e au dĂ©marrage et WQHD+ 2960 x 1440 px.Les deux derniĂšres sont quasi identiques pour tout type de contenu Ă l'Ćil nu, mĂȘme si la densitĂ© d'affichage change, forcĂ©ment, avec 425 pixels par pouce pour le FHD+ et 570 ppp pour le WQHD+. Ce sera fatalement moins le cas pour la HD+, avec une densitĂ© de 283 ppp et un affichage un poil "flou" et moins fin. ColorimĂ©trie 1,7 Le rendu des couleurs est excellent, avec un bon Ă©quilibre et une belle fidĂ©litĂ© voir ci-dessus, avec un Delta E moyen Ă 1,7. La tempĂ©rature des couleurs s'approche de la perfection et Ă©vite toute dĂ©rive possible sur la globalitĂ© de l'affichage et le gamma lui aussi tient la corde pour faire fi du manque de dĂ©tails dans les zones fortement contrastĂ©es. Des rĂ©sultats, au passage, obtenus en passant l'Ă©cran en mode "Basique" dans les paramĂštres d'affichage. Oubliez les autres modes Adaptatif, CinĂ©ma, Photo, tous problĂ©matiques sur un ou plusieurs points importants, comme les couleurs ou la la rĂ©activitĂ© vient un peu gĂącher la superbe fĂȘte â sans pour autant sacrifier une Ă©toile dans notre comparatif des Ă©crans â, puisque si le temps de rĂ©manence est quasi nul, qualitĂ© intrinsĂšque de l'Amoled oblige, le retard tactile monte Ă 89 ms. C'est le double du GS7 edge et mĂȘme le triple du GS6 edge. La concentration de Samsung s'est focalisĂ©e ailleurs cette annĂ©e, en gauche, le GS8, Ă droite, le que chez les primo utilisateurs du GS8, des cas d'Ă©crans virant au rouge ont Ă©tĂ© remontĂ©s. Nous n'avons pas eu ce cas de figure, mais nous restons vigilants sur les premiĂšres semaines d'utilisation ici et de par le monde pour en avoir le cĆur net. Enfin, gardez en tĂȘte que cet Ă©cran est l'un des premiers afficheurs mobiles certifiĂ©s HDR. Le contenu HDR d'Amazon Prime Video sera ainsi compatible avec cet Ă©cran, normalement dĂšs la sortie officielle du GS8. Nous reviendrons donc sur cet Ă©lĂ©ment le cas Ă©chĂ©ant. Interface et navigation Adieu TouchWiz, bienvenue Experience Samsung change le nom de son interface pour Android ici en Nougat mais ce n'est pas qu'un mouvement de façade. La firme Ă©pure encore son logiciel et adapte la navigation dans la longueur pour un rĂ©sultat riche en options et tout de mĂȘme intuitif. Outre les applications traditionnelles et utiles de Google Gmail, YouTube, Maps, Play Store..., on trouve bien entendu les habituels doublons de Samsung de ces mĂȘmes logiciels, mais aussi Health pour le suivi d'activitĂ© ou encore Knox pour crĂ©er une partie sĂ©curisĂ©e et cachĂ©e accessible par code/empreinte/iris. Bon point, il est possible dĂšs le dĂ©marrage de zapper la plupart des applis Samsung. Mauvais point, impossible de jeter au feu la suite Microsoft complĂšte et intĂ©grĂ©e. Mais l'explication vient sans doute de Samsung DeX, et donc de l'usage en productivitĂ© avec des apps Microsoft optimisĂ©es pour l'occasion. On trouve beaucoup de personnalisation dans Experience, de la taille et de la forme des icĂŽnes aux diffĂ©rents thĂšmes Ă tĂ©lĂ©charger, mais aussi dans le volet latĂ©ral apparu avec les premiers smartphones Ă bords courbes du constructeur. Ce volet permet d'accĂ©der d'un glissement de doigt Ă des outils, des contacts, des infos, le tout avec de belles animations. Comme pour tous les modĂšles haut de gamme Samsung et mĂȘme les Galaxy A5 et A3 dĂ©sormais, le mode Always On est disponible. Il permet, lorsque l'Ă©cran entre en veille, de conserver des informations et notifications sur l'Ă©cran. Ces derniĂšres sont consultables d'un tapotement sur leur icĂŽne. Un changement s'opĂšre Ă©galement dans les paramĂštres. Le nombre d'entrĂ©es dans le menu des rĂ©glages est tel que l'on s'y perdrait. L'ancien classement par thĂ©matiques, bien sĂ»r soutenu par un graphisme enfantin, tait plus pertinent. Surtout qu'Experience a tendance Ă mĂ©langer les torchons avec d'autres torchons. L'Always On, par exemple, n'est pas dans Affichage mais dans les options de verrouillage. Toutefois, le pied de la page Affichage comporte un lien vers la page verrouillage pour l'Always On. Samsung semble conscient de son classement parfois lunaire et les paramĂštres sont perclus de ce genre de va-et-vient. Il est quand mĂȘme possible de retrouver les options les plus courantes dans le volet des raccourcis, en glissant du haut vers le bas de l'Ă©cran et, surtout, une fois tout cela assimilĂ©, on peut tout de mĂȘme naviguer au sein d'un OS Ă©purĂ©, fluide et plaisant au quotidien. En tirant la languette tactile au bord de l'Ă©cran, on ouvre un volet qui peut receler plusieurs raccourcis et tire profit de son long Ă©cran en dĂ©clinant une fois de plus sa sĂ©paration de l'affichage en deux parties de tailles rĂ©glables. On peut ainsi Ă©pingler une vidĂ©o YouTube en haut ou en bas de l'Ă©cran et rĂ©pondre Ă des e-mails, SMS ou consulter des pages web en mĂȘme temps, sans temps mort. Une habitude qui vient vite et qui s'opĂšre aussi bien en portrait qu'en paysage. Il est Ă©galement possible, mais pas pour tous les logiciels pour l'instant, de forcer l'affichage sur toute la longueur de l'Ă©cran. Mais... et Bixby alors ? Qu'a-t-il Ă nous dire ? Eh bien, pas grand-chose pour le moment puisque l'ĂȘtre intĂ©rieur du GS8 ne parle pas notre langue et voit donc son interaction vocale purement et simplement coupĂ©e en France. La sacro-sainte IA made by Samsung ne va pas plus loin dans l'usage de tous les jours qu'un bon paramĂ©trage de Google Now. Le bouton latĂ©ral ouvre une page pleine de cartes diverses photo, mĂ©tĂ©o, agenda, actu, activitĂ©..., mais les partenariats de contenu actuellement signĂ©s par Samsung sont trop limitĂ©s pour en faire un remplaçant pertinent de alors Bixby Vision, qui permet d'identifier des objets via l'APN, soit pour en sortir des similaires via Google Image, soit en acheter via Amazon. L'opĂ©ration fonctionne alĂ©atoirement et prend pour le moment des allures de gadget intelligent, mais lĂ encore limitĂ© par les partenariats du constructeur. Plus il en passera, plus l'outil prendra du poids. On notera aussi l'activation d'un mode "vin" lorsqu'on pointe une bouteille du prĂ©cieux breuvage, afin d'en obtenir des infos ou l'acheter le cas Ă©chĂ©ant. Outre les rĂ©sultats intĂ©gralement en anglais, lĂ encore, la rĂ©ussite de l'opĂ©ration est Ă gĂ©omĂ©trie variable. Bref, Bixby, on attendra... surtout au regard de l'avant-goĂ»t bluffant que nous avait offert Samsung lors de la premiĂšre prĂ©sentation du produit. Aujourd'hui, on en est nous attarderons sur le mode PC de bureau "DeX" dans un article dĂ©taillĂ© et dĂ©diĂ©, mais une premiĂšre reconnaissance permet dĂ©jĂ de dĂ©gager quelques retours la connexion est rapide, le fonctionnement repousse la volontĂ© premiĂšre de Windows Phone et son mode Continuum, mais il manque encore de nombreuses applications Ă optimiser pour le ratio "plein moniteur" avant d'en faire une arme de dernier mot sur les performances globales du GS8. Avec l'Exynos 8895, Samsung s'assure un appareil d'une puissance brute sans Ă©gal sur le marchĂ© Android, pour l'heure. Les 4 Go de RAM pourront sembler chiches aux fans de fiche technique, mais aujourd'hui, cela reste largement suffisant, surtout en comptant sur les nombreuses optimisations du constructeur pour rendre son interface et les usages bien plus digestes pour la mĂ©moire et la puce. Le GS8 et Experience se placent donc trĂšs haut dans le panier des expĂ©riences utilisateurs avec une formule riche, ultra-fluide et Ă©quilibrĂ©e Ă la fois. MultimĂ©dia Au-delĂ de la compatibilitĂ© des fichiers vidĂ©o que peut avaler le GS8 â comme sur ses prĂ©dĂ©cesseurs, les conteneurs .AVI n'ont pas droit de citĂ©, mais sinon le lecteur dĂ©diĂ© est une bĂȘte de course â, c'est surtout la maniĂšre dont Samsung cherche Ă jouer avec le ratio de son Ă©cran qui interpelle. Sur YouTube et le lecteur vidĂ©o dĂ©diĂ©, on note 3 types d'affichage adaptĂ©, original ou rognĂ©. Le premier affiche la vidĂ©o en "plein Ă©cran" sans Ă©viter au passage les bandes noires en gros, le plus souvent, horizontales pour les films, verticales pour la plupart des sĂ©ries.Ci-dessus et ci-dessous, deux exemples des options d'affichage sur YouTube. Le second mode affiche le format d'origine dans un cadre noir tout autour de la vidĂ©o. On passe... Le dernier mode remplit absolument tout l'Ă©cran avec la vidĂ©o. Impressionnant de prime abord, il pourra gĂȘner les utilisateurs pour la dĂ©formation sur les bords incurvĂ©s et surtout le lĂ©ger zoom souvent induit par l'entreprise. Bref, tout cela est moins intuitif qu'un 169, mais reste Ă©tonnant. VidĂ©o Audio La sortie casque mini-jack du GS8 s'aligne presque sur la dĂ©jĂ trĂšs bonne â mais disparue au combat â sortie du Note 7. En rĂ©sulte une puissance suffisante pour convenir aux casques les plus gourmands, une faible distorsion, une image stĂ©rĂ©o bien marquĂ©e et une trĂšs large plage dynamique, comme on en voit constat est moins dithyrambique pour le haut-parleur, situĂ© sur la tranche basse. Il arrive Ă saturation Ă partir du 3/4 du niveau sonore. Samsung rĂ©ussit Ă limiter la vibration du verre, mais elle reste tout de mĂȘme de la partie. Ă conseiller, Ă©ventuellement et uniquement, pour une conversation. Comme annoncĂ© en prĂ©ambule de ce test, l'arrivĂ©e du Bluetooth dans ce GS8 ouvre de nouvelles perspectives, comme la fonction Dual Audio, permettant d'envoyer un flux audio sur deux rĂ©cepteurs sĂ©parĂ©s. Pour plus de dĂ©tails sur l'apport du BT lire notre article dĂ©diĂ© ci-dessous. Jeu Avec une partie graphique assurĂ©e par un iGPU Mali G-71 â qui Ă©quipe dĂ©jĂ le Huawei Mate 9 et les P10/P10 Plus â et la puissance de l'Exynos 8895, le GS8 est une sacrĂ©e bĂȘte Ă jouer, d'autant que Samsung accole Ă la section vidĂ©oludique son interface Game Tools, intronisĂ©e sur le GS7, qui permet de gĂ©rer plusieurs fonctions en plein jeu, comme le retransmission en direct sur sa chaĂźne personnelle, la capture d'Ă©cran, l'enregistrement d'une vidĂ©o de jeu, la gestion des notifications... Bref, du complet et pratique pour qui en a les performances, comme Ă©noncĂ© plus haut, le GS8 est une vĂ©ritable brute, mais on relĂšve toutefois une optimisation lĂ©gĂšrement plus fine chez Huawei, justement avec le Mate 9 et une puce Kirin 960 qui en a dĂ©cidĂ©ment dans le ventre. Les diffĂ©rences sont infimes et se joueront surtout dans l'esprit des stakhanovistes du benchmark graphique. N'ayez crainte, le GS8 fait tourner tous les jeux dans les meilleures conditions possibles. Photo Comme vous avez dĂ©jĂ pu lire ici ou ailleurs et si ce n'est pas le cas, rappelons-le un coup pour la forme bien que les modules soient diffĂ©rents entre le GS7 et le GS8, la construction et le concept sont identiques, que ce soit en termes de stabilisation, de rĂ©solution ou d'ouverture f/ la plus basse du marchĂ©.De fait, les amĂ©liorations de Samsung vont surtout se trouver dans le traitement de l'information. Pour le coup, il semblerait que la nouvelle construction et le traitement favorisent une meilleure balance des blancs aussi bien en pleine lumiĂšre qu'en basse luminositĂ©, ainsi qu'une gestion des contrastes et contre-jour encore mieux Ă©paulĂ©e par la dynamique du ne profite pas de toute la longueur de son Ă©cran pour adapter son interface. A venir, point Ă noter, on constate une perte moindre de dĂ©tails dans les coins de l'image. Il y en a toujours, mais nous ne sommes plus dans le grignotage constatĂ© sur la gĂ©nĂ©ration S7. Enfin, Samsung continue Ă adoucir son rendu. Nous en avions eu un aperçu sur le Galaxy A5 2017, la tendance se confirme ici aussi, avec un traitement plus lisse de l'image, surtout en basse lumiĂšre, lĂ oĂč le constructeur allait chercher le dĂ©tail Ă la pioche l'an dernier. Le produit progresse aussi sur la gestion des plans, avec d'excellente composition en premier plan et second plan en flou progressif. Le GS8 propose un comportement en haute lumiĂšre de belle facture, dans la droite lignĂ©e de celui du S7, avec un peu plus de contraste et des couleurs qui restent globalement fidĂšles. LĂ oĂč Samsung matraque ses concurrents, c'est encore et toujours sur la rĂ©activitĂ© globale de l'appareil. Quelle que soit la situation lumineuse, on sort le mobile, on pointe et on shoote sans se soucier de la mise au point ; merci de Dual Pixel AF et l'algorithme, comme sur le Google Pixel, qui capture continuellement pour ĂȘtre sur le pont coĂ»te que coĂ»te. Impressionnant, mĂȘme face au Pixel, justement, ou face Ă un iPhone. 470241 470239 Comme sur le Galaxy A5 2017, la marque propose Ă©galement un dĂ©clencheur tactile flottant que l'on peut disposer Ă loisir sur l'Ă©cran. Pratique et efficace. Pour le rendu pur de l'image, le Galaxy S8 ne rivalise pas avec le LG G6 qui semble parti pour ĂȘtre le mĂštre Ă©talon de 2017 avec pourtant une rĂ©solution pas si folle comparĂ©e Ă celle du GS8 13 Mpx, mais le constat est lĂ , le traitement d'image de LG surpasse celui de Samsung en pleine lumiĂšre comme en basse luminositĂ©. Le GS8, en rĂ©ponse, offre une expĂ©rience photo bien plus instantanĂ©e et plus fluide. Retrouvez le Galaxy s8 face Ă la concurrence dans notre Face-Ă -Face Photo. 470245 470243 CĂŽtĂ© vidĂ©o, pas besoin pour Samsung de changer une formule gagnante. La stabilisation est l'une des meilleures du marchĂ©, la compensation des mouvements reste souple et surtout les transitions lumineuses sont gĂ©rĂ©es avec brio. Un "vidĂ©ophone" au sommet. Le capteur avant a la bonne idĂ©e de passer Ă 8 Mpx 5 Mpx sur le GS7 et le gain notable en dĂ©tails est salutaire. La vitesse de rĂ©action est au menu, de mĂȘme que le dĂ©clencheur flottant. Un rĂ©gal Ă venir pour les fans d'autoportraits, malgrĂ© un lĂ©ger lissage lĂ aussi. Autonomie Une batterie de capacitĂ© identique Ă celle du GS7, mais un Ă©cran plus grand et plus long, une puissance accrue, des usages augmentĂ©s... Samsung rĂ©unit tous les Ă©lĂ©ments pour se compliquer la tĂąche dans la gestion de l'alimentation Ă©nergĂ©tique et se doit par consĂ©quent de pousser Ă fond son optimisation. Et si Samsung ne battra pas de record d'endurance avec le GS8, il a, il est vrai, rĂ©ussi Ă contenir le foisonnement technique de la bĂȘte. Pour relever l'autonomie du GS8, nous avons Ă©tabli trois relevĂ©s diffĂ©rents pour obtenir une idĂ©e plus prĂ©cise des capacitĂ©s du terminal dans sa livraison d'origine, c'est-Ă -dire en Full HD+ avec le mode Always On activĂ©, puis dans sa configuration maximale WQHD+ avec et sans Always doute, en prĂ©ambule, que le passage d'une dĂ©finition Ă l'autre, s'il n'accouche pas d'une rĂ©volution visuelle, induit des Ă©carts en matiĂšre d'autonomie. Sur notre protocole d'autonomie gĂ©nĂ©rale avec l'outil SmartviSer, FHD+ avec Always On implique un temps de fonctionnement de 15h09, soit quasi autant que sur un Galaxy S7 edge Ă la batterie de 3 600 mAh. Belle performance, qui sera forcĂ©ment un poil gonflĂ©e sans le mode Always On activĂ©. Pour le format maximal, la dĂ©sactivation de l'Always On permet une endurance de 13h49, soit quelques poignĂ©es de minutes supplĂ©mentaires grappillĂ©es sur le Galaxy S7 simple, tandis que l'activation du mode Always On ampute le GS8 de 90 minutes d'autonomie. On oscille donc, selon la dĂ©finition et le mode et les diffĂ©rents usages, entre une trĂšs grosse journĂ©e et demie d'utilisation et deux jours pleins, soit d'excellents rĂ©sultats pour un tel monstre technique. En lecture vidĂ©o, le GS8 fait sans doute les frais du plein Ă©cran, puisqu'il propose, sur Netflix, un temps de 11 heures de visionnage. Un bon rĂ©sultat en soi, mais toutefois moindre que sur GS7 13H30 et GS7 edge 15h30. Pas de progression ni de rĂ©gression, petite dĂ©ception sur ce point, donc, mais cela reste Ă©galement supĂ©rieur de 2h30 au G6, son concurrent plein veille se cale dans la moyenne du marchĂ©, ni fantasmagorique ni dĂ©cevante les points de batterie ne s'Ă©grainent pas toutes les 10 minutes en somme. Pour la charge, le passage en recharge rapide demande un peu plus de 90 minutes pour un cycle complet. Samsung ne semble pas avoir retentĂ© le diable du Note 7 qui avait Ă l'Ă©poque tirĂ© sur la corde de la recharge fast food. Points forts QualitĂ© de fabrication impeccable / Design marquant, surtout en façade. Un Ă©cran Super Amoled de grande qualitĂ© / rendu superbe des couleurs, optimisation de l'occupation de l'espace avant. Autonomie. L'appareil photo principal, toujours ultra-rĂ©actif et de trĂšs bonne facture dans le rendu. L'APN avant qui gagne en rĂ©solution et en rĂ©activitĂ©. L'OS Experience, fluide, bien pensĂ© dans sa navigation globale / Le partage d'Ă©cran. Les promesses du mode DeX. Points faibles Bixby, un dĂ©barquement aphone et limitĂ©. Ce placement du lecteur d'empreintes n'a aucun sens. Un peu le boxon dans le menu des rĂ©glages. Le ratio 18,59 ne fera pas l'unanimitĂ©. Un peu glissant et on peut s'emmĂȘler dans la panoplie de boutons latĂ©raux. Scanner d'iris Ă parfaire. Conclusion Note globale Comment fonctionne la notation ? Si les dieux de l'assemblage industriel sont avec Samsung ce printemps, la firme sud-corĂ©enne tient lĂ une piĂšce remarquable. Un smartphone aux finitions rarement atteintes, un design qui ridiculise la majeure partie du marchĂ©, un Ă©cran Super Amoled qui chatouille la rĂ©tine dans le bon sens et un APN qui, certes quasi inchangĂ© depuis l'an dernier, fait encore remarquablement le job... n'en jetez plus, le Galaxy S8 est une rĂ©ussite qui vaut bien que l'on se frustre avec son lecteur d'empreintes et qu'on attende patiemment qu'un jour, peut-ĂȘtre, l'assistant Bixby s'Ă©mancipe pleinement et en Français s'il vous plait. Sous-Notes Ergonomie et design Ăcran Interface et navigation MultimĂ©dia Photo Autonomie
MOGaC. 167 132 152 274 112 63 305 347 59